Pour toutes celles et tous ceux qui :
- aiment l'opéra
- ne connaissent pas l'opéra et veulent découvrir ce que c'est ...
Je vous propose d'assister à une retransmission de l'oeuvre de Giuseppe VERDI :
RIGOLETTO
C'est une retransmission en direct du MET', la salle fameuse de New York.
C'est donc assis dans un fauteuil, au Kinépolis de Thionville je précise, que vous serez comme aux premières loges, avec le point de vue du metteur en image, bien mieux que tout au fond de la salle réelle...
Toute l'oeuvre est chantée dans la langue italienne ET sous titrée en Français...pour mieux suivre l'oeuvre.
Pour profiter au mieux du spectacle, je vais réserver en milieu de salle, pas tout en haut parce l'image n'est guère plus grande que chez soi, pas trop près, ça gêne parfois les gens d'être trop près.
Je vous tiens au courant du tarif retenu.
En attendant, je vous laisse découvrir le sujet :
Rigoletto est un opéra italien en trois actes et quatre tableaux de Giuseppe Verdi, sur un livret de Francesco Maria Piave, d'après la pièce de Victor Hugo Le roi s'amuse, créé le 11 mars 1851 au théâtre de la Fenice à Venise. Il s'agit du dix-septième opéra du compositeur, formant avec Le Trouvère (1853) et La traviata (1853), la « trilogie populaire » de Verdi1.
Centré sur le personnage dramatique et original d'un bouffon de cour, Rigoletto fit initialement l'objet de la censure autrichienne. Le roi s'amuse avait subi le même sort en 1832, interdit par la censure et repris seulement cinquante ans après la première.
Ce qui, dans le drame d'Hugo, ne plaisait ni au public ni à la critique était la description sans détour de la vie dissolue à la cour du roi de France, avec au centre le libertinage de François Ier. Dans l'opéra, le livret transfère l'action, par compromis, à la cour de Mantoue qui n'existe plus à l'époque, remplace le roi de France par le duc, et le nom de Triboulet par celui de Rigoletto.
Drame de passion, de trahison, d'amour filial et de vengeance, Rigoletto offre non seulement une combinaison mélodique et dramatique, mais met en évidence les tensions sociales et la condition féminine subalterne dans laquelle le public du xixe siècle pouvait facilement se reconnaître. La répétition constante, dès le prélude, de la note do en rythme pointé vient marquer le thème de la « maledizione » (« malédiction »).